Sur Katanga Cultura!

vendredi 24 juillet 2015

Freddy Wazabanga Panoramix : Rétroviseur. « J’ai eu ma vision ».

Il est un artiste de prestige de Lubumbashi! Ayant conjugué son talent avec ceux de chanteurs incontesté de la rumba congolaise, Freddy Wazabanga a choisi de se mettre en chemin. Rétroviseur, la première œuvre sur le trajet de sa nouvelle destination, éclot bientôt. Parmi ses valeurs, ses prochains consommateurs se satisferont de l’apanage de savourer les vertus de polyvalence de l’auteur. Rétroviseur sera bientôt masterisé  par Ankellya Studio à Londres.

Image d'illustration
Katanga Cultura : Freddy on vous connaissait en tant que membre du groupe Les Stars. Aujourd’hui vous faites carrière solo. Qu’était devenu pour vous le groupe: une cause dans laquelle vous ne croyiez plus ou une aventure qu’il fallait finir et sans attendre ?
Freddy Wazabanga Panoramix : Les Stars reste une famille, une famille que je continuerai à soutenir. Chacun a sa vision comme on dit. J’ai eu ma vision ; je me suis mis debout pour aller de l’avant. A présent je fais une carrière solo mais j’ai un groupe qui m’accompagne, il se nomme Collectif de rêve.

lundi 20 juillet 2015

Jusqu’au bout de mon rêve. Ma palme. Mon propos.

Jusqu’au qu’au bout de mon rêve. C’est le titre de mon dernier court métrage de fiction. A son cœur, l’histoire d’un rêve, celui de Françoise, l’héroïne. Grace à ce film, l’histoire me consignera comme lauréat de la cinquième édition du festival Cinétoiles. Dans son panier des mérites, mon film a aussi gagné les deux meilleures interprétations du festival : meilleur acteur féminin et  meilleur acteur masculin.


Françoise, l’héroïne du film

Il est de ces choses avec lesquelles on imagine l’avenir ; celles dans la conquête desquelles l’on s’engage à corps perdu. On les espère tellement qu’on s’applique dans nos élans pour les obtenir, s’appliquer tellement comme l’énergie que l’on met dans un geste de « dernières volontés » ; ces choses qui riment avec avenir, espoir et survie.
Françoise, l’héroïne de Jusqu'à bout de mon rêve, rêvait d’un diplôme. Diplômée

vendredi 10 juillet 2015

Quand une carrière inspire un film. Au gré de ma passion un film de Ray Ntambwe sur M. Joe Zuka.


Au gré de ma passion. Le film a comme personnage principal l'artiste musicien M.Joe Zuka. Primé parmi les meilleurs documentaires de la cinquième édition du festival Cinétoiles, Au gré de ma passion est la première réalisation d'un impressionnant projet cinématographique sur la musique katangaise. Ray Ntambwe, son réalisateur est féru de raconter les histoires et d'écriture. 

Affiche du film
Katanga Cultura : Comment ce projet est-il né ?  
Ray Ntambwe : Tout est parti d’une rencontre. Un jour M. Joe débarque dans ma station de radio où je travaille pour la promotion de l’album de Berdis Angel. J’ai été émue à l’écoute de cet album. C’était une musique bien, une musique de recherche. J’ai pu le voir se produire plusieurs encore fois et j’ai découvert chez lui un esprit de recherche, une certaine qualité par rapport à plusieurs artistes. J’ai commencé à le suivre ainsi j’ai pu me constituer des archive. J’ai choisi le projet de l’album avec la motivation était de savoir : Est-ce que cet album va aboutir ou pas ? Et quand il va aboutir à quoi va-t-il ressembler ? C’est come ça que le projet est parti, c’était  en 2009 quand l’artiste venait d’arriver à Lubumbashi. Nous en étions aux simples contacts au début, des contacts de types chroniqueur-musicien. Je produisais une émission de chronique musicale et je l’y invitais pour le présentateur. Ainsi nous avons gardé contact et sommes devenus potes.
Katanga Cultura : Cette question aurait pu venir à la fin. Le projet commence en 2009. Un vieux projet. Pourquoi choisissez-vous de le finir maintenant ?