Jusqu’au qu’au bout de mon
rêve. C’est le titre de mon dernier court métrage de fiction. A son cœur, l’histoire
d’un rêve, celui de Françoise, l’héroïne. Grace à ce film, l’histoire me
consignera comme lauréat de la cinquième édition du festival
Cinétoiles. Dans son panier des mérites, mon
film a aussi gagné les deux meilleures interprétations du festival : meilleur
acteur féminin et meilleur acteur masculin.
Françoise, l’héroïne du film |
Il
est de ces choses avec lesquelles on imagine l’avenir ; celles dans la
conquête desquelles l’on s’engage à corps perdu. On les espère tellement qu’on
s’applique dans nos élans pour les obtenir, s’appliquer tellement comme l’énergie
que l’on met dans un geste de « dernières volontés » ; ces choses
qui riment avec avenir, espoir et survie.
Françoise,
l’héroïne de Jusqu'à bout de mon rêve,
rêvait d’un diplôme. Diplômée
, elle s’imaginait épanouie et accomplie. Mais le rêve, plus haut perché, la soumettait à une aventure scabreuse. Ce type d’aventures dans lesquelles bien des élans buttent sur le doute. Quand le pas d’un millimètre se réussit à la pointe de l’épée ; quand il faut cher payer et que le fond de l’engagement est sur le point de manquer de souffle. « Renonce ! Capitule ! », lance d’une voix criarde, le présent. « Endure ! Mets en joue le bout ! », crie le futur, l’autre facette du présent mais qui lui s’ignore.
, elle s’imaginait épanouie et accomplie. Mais le rêve, plus haut perché, la soumettait à une aventure scabreuse. Ce type d’aventures dans lesquelles bien des élans buttent sur le doute. Quand le pas d’un millimètre se réussit à la pointe de l’épée ; quand il faut cher payer et que le fond de l’engagement est sur le point de manquer de souffle. « Renonce ! Capitule ! », lance d’une voix criarde, le présent. « Endure ! Mets en joue le bout ! », crie le futur, l’autre facette du présent mais qui lui s’ignore.
Jusqu’au bout de mon rêve
comme d’une vie motivée par « ce que demain va t’offrir, et non par ce que
hier t’a enlevé » (Jean Gastaldi). Telle la glace fond au soleil, la fumée
se dissipe au vent, tel le doute s’effrite au contact de l’obstination. Sous
l’aile de l’optimisme, le rêve et l’ambition survivent de l’incertitude et
triomphent.
Le
film est en full HD et dure vingt minutes, grâce à lui, je suis lauréat de la cinquième
édition du festival
Cinétoiles. Merci au Professeur Jacky Mpungu et, à travers lui au
Cinétoiles, pour l’opportunité de créer et de donner à voir la création. Merci
à vous distingués anonymes à l’appréciation de qui mon œuvre a eu quelque
mérites. Je me sais aussi gré au groupe Magos, mon petit fusil !
Séance
de rattrapage si vous n’avez pas pu voir le film. Regardez-le sur Youtube en
cliquant sur ce lien.
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